Le futur de la mobilité ? Quand la voiture rencontre le vélo !

🏁 Introduction

Bonjour tout le monde !

Ca c’est un vélomobile : le vélo le plus rapide que j’ai eu l’occasion de piloter ! 

Dans cette vidéo, je vais prendre le temps de vous le présenter et de répondre aux nombreuses questions qui peuvent vous venir en tête en voyant ce genre d’engin 

Est-ce légal ? ou peut il rouler a quoi ça sert Quel est son prix Je vous explique tout !

Avant tout, un grand merci à Youk  pour son temps et pour m’avoir présenté son bolide.

Bon d’abord qu’est que c’est derrière car avec son apparence qui est un drôle de mélange entre un petit Vespa et une vieille voiture comme l’Austin Sprite on a du mal à le situer 

🚲Le vélomobile 

Eh bien, c’est un vélo couché à trois roues : deux à l’avant, une à l’arrière. Donc déjà, il tient debout tout seul, ce qui est plutôt pratique pour y entrer et en sortir. Parce que, pour le coup, t’as vraiment l’impression d’être dans une Formule 1 version écolo, où il faut se faufiler pour rentrer… et relever le volant !

Au-delà de ça, l’intérieur, c’est classique :
des pédales,
un plateau à l’avant,
des vitesses à l’arrière,
un guidon…
Bref, tout pareil qu’un vélo normal. Sauf que la grosse différence, c’est la coque : une sorte de capsule futuriste entièrement en carbone, autoporteuse.
Ça veut dire que la carrosserie elle-même supporte tout, sans châssis séparé. Résultat : à peine 25 kilos ! Pour te donner une idée, ce « tank » derrière fait plus de 30 kilos…

Et le vélo est tellement léger qu’à l’arrière, il y a une petite ouverture dans le châssis, ici, qui te permet de le déplacer avec un seul doigt pour le retourner. Parce que l’angle de giration, lui, n’est pas évident — mais ça, j’en reparlerai !

💨 2. Aérodynamisme et performances

Au final, la vraie grosse différence avec un vélo classique — celle qui lui donne son nom — c’est son cockpit et sa forme longiligne, mi-voiture, mi-aile d’avion. Sa silhouette, très proche du sol, lui permet d’avoir une résistance au vent extrêmement faible. Résultat : avec très peu d’effort, tu peux atteindre des vitesses absurdes !

Là, par exemple, je suis sur l’anneau de Longchamp, je roule pépère à plus de 50 km/h, et l’effort que je fournis équivaut à un bon 30 km/h sur un vélo classique.
Et pour vous donner un ordre d’idée par rapport à une voiture, eh bien… ça fait cette taille-là.

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📜 3. Légalité et cadre réglementaire

Et justement, à propos de la taille… Est-ce que c’est légal ?
Eh bien oui. D’abord, c’est un vélo — et il est considéré comme tel. Ça veut dire qu’il peut emprunter tous les aménagements prévus pour les cycles : les SAS vélo, les panneaux M12, les pistes et bandes cyclables, etc.

Il n’a aucune assistance électrique, ni au démarrage, ni en roulant. C’est uniquement à la force des jambes que je peux atteindre les 50 km/h. Sa largeur est de 70 cm, soit l’équivalent d’un vélo classique.
Et pour info, les tricycles peuvent légalement aller jusqu’à 2,50 mètres de large. Oui, 2,50 m ! Je rigole à chaque fois que je vois cette valeur… surtout quand on pense à la taille moyenne des pistes cyclables à sens unique. Ça montre à quel point certaines sont ridiculement étroites. Mais bon, j’y reviendrai.

Le vélo est aussi parfaitement équipé pour circuler sur la voie publique : feux avant et arrière, clignotants avant et arrière, feux de freinage et même des feux diurnes, avec une gestion de l’intensité lumineuse. Et c’est important, parce que sortir la main pour indiquer un changement de direction, dans cette capsule fermée, c’est… disons compliqué.

Le système de clignotants, d’ailleurs, est super bien fichu :
– il y a un bip sonore dans l’habitacle, donc impossible de les oublier ;
– l’activation se fait directement au guidon, comme sur une voiture et il y a un klaxon aussi que l’on entend autant dans l’habitacle qu’à l’extérieur c’est une fonctionnalité à mettre sur les autres model de voiture ca !

Et pour freiner ? Eh bien, on tire simplement sur une manette : tout se contrôle avec les mains. Pratique, intuitif, efficace.

🧭 4. Usages au quotidien

Une question que vous risquez de vous poser après cette présentation, c’est : « Mais à quoi ça sert, concrètement ? » Est-ce que c’est juste un délire d’ingénieur, ou est-ce que ça s’utilise vraiment pour aller bosser ?

Eh bien oui, c’est clairement un véhicule du quotidien. Son propriétaire, Youk , s’en sert beaucoup pour ses trajets vélotaf. Et la première fois qu’il est arrivé avec ce bolide… disons que ça a pas mal surpris tout le monde !

De mon point de vue, c’est le véhicule idéal pour des trajets quotidiens de plus de 15 km. Grâce à sa vitesse de croisière et à son cockpit fermé, on peut faire des trajets plus longs, confortablement, et presque tous les temps

🌦️ 5. Confort et météo

L’un des gros avantages de ce vélo, c’est sa coque complète qui entoure entièrement le pilote. Résultat : on est totalement protégé des éléments. Le vent, notamment — c’est l’ennemi numéro un à vélo, surtout à haute vitesse. Et à 50 km/h, s’il n’y avait pas cette coque, ce serait vite dangereux, avec des projections dans les yeux, des courants d’air, etc.

Heureusement, tout est prévu : la coque protège efficacement, et il y a même un petit essuie-glace pour faire face à la pluie. En cas d’averse, pas de souci : des aérations bien placées assurent la ventilation, et un système d’évacuation d’eau empêche l’intérieur de se transformer en baignoire.

Mais tout n’est pas parfait : le vrai problème, c’est la surchauffe. Même avec de l’aération, vous connaissez sûrement ce phénomène à vélo : dès qu’on s’arrête, on sent immédiatement la chaleur nous tomber dessus.
Eh bien ici, c’est pareil… mais en version sauna. À tel point que parfois, notre pilote finit… torse nu à l’intérieur !
Et quand il lève la capote, effet de surprise garanti pour les passants. On est littéralement dans une scène sortie d’Ace Ventura, version cycliste 😅

d’ailleur ils ont même été jusqu’à prévoir ce détail dans la coque avec ce petit hublot qui permet d’avancer capote ouverte en pente par exemple si tu crèves de chaud. 

Durant le test, je n’ai pas pu rouler avec la capote, tout simplement parce que j’étais un peu trop grand. Si je rentre la tête, ça tape direct au niveau des genoux.

Les petites boursouflures que vous voyez sur le dessus sont justement là pour laisser de l’espace aux genoux pendant le pédalage, donc c’est super important de bien régler le vélo avant de partir, surtout en fonction de votre taille.

Autre détail intéressant : il y a deux petites zones en fibre de verre sur la coque, prévues pour laisser passer les ondes du GPS, car le carbone agit comme une cage de Faraday, c’est-à-dire qu’il réfléchit et absorbe les ondes radio, ce qui peut gêner les signaux GPS.

📦 6. Vie pratique : stockage et logistique

Une autre chose qui m’a surpris, c’est l’espace de rangement important sur les côtés, à l’arrière et à l’avant.
Au total, on peut y caser plus de 50 litres de chargement. Bon, ce sera plutôt pour des petits paquets, mais ça permet quand même de transporter pas mal de choses.

Par contre, ce n’est pas forcément idéal pour un usage 100 % urbain, comme les courses en centre-ville. Pas tellement à cause du risque de vol — difficile de revendre ce genre de vélo — mais plutôt à cause du risque de rayures.
Comme la coque est en carbone, elle est assez fragile : un passant un peu maladroit ou un photographe trop curieux qui viendrait l’admirer de trop près ou la toucher risquerait de laisser des traces.
Bref, il faut rester vigilant sur le stationnement.

Bon, par contre, petit bémol : pas de passager possible, et ce n’est vraiment pas un véhicule qu’on peut prêter, tout est très personnalisé !

🚘 7. Sécurité en circulation

Pour ceux qui se demandent ce que ça donne en circulation, beaucoup ont la crainte : « Oh mon dieu, là-dedans, tu dois être en danger, invisible à ras du sol ! »

D’abord, Youk  a choisi un vélomobile aux couleurs très visibles — orange et blanc — qui attirent vraiment l’attention. Personnellement, j’adore l’orange, mais lui, il l’a choisi non pas par goût, mais pour capter l’œil des automobilistes.

Et pour l’avoir suivi dans Paris, ainsi que sur des routes départementales, je peux vous dire que les automobilistes font vraiment attention. Souvent plus qu’avec moi sur un vélo classique !

Il y a un effet psychologique intéressant, appelé biais d’appartenance au groupe, ou biais de favoritisme intragroupe. Le fait que le véhicule, de par sa forme et ses accessoires comme les clignotants et indicateurs de freinage, participe également à ce biais : au premier coup d’œil, on ne se dit pas « oh, c’est un vélo », mais plutôt « ça ressemble à une petite voiture électrique ».

Cela entraîne spontanément plus de sympathie et de tolérance il est perçu comme un autre automobiliste, avec adoption de codes similaires.

Je l’ai constaté notamment dans la manière de dépasser les automobilistes vont carrément se déporter sur l’autre côté de la chaussée pour dépasser le vélomobile en toute sécurité.
Ils sont aussi beaucoup plus patients lors des manœuvres et acceptent plus facilement sa place en circulation en laissant une distance de sécurité, là où un cycliste se fait klaxonner et sera collé s’il roulait au même endroit.

Par exemple, le taxi qui me dépasse…

Un autre point que vous ne voyez pas ici, c’est qu’en circulation normale, il roule aussi beaucoup plus vite, ce qui permet de s’insérer facilement dans le trafic. Dès la moindre pente, il me lâche sans effort, et sur départementale, il peut sans mal rouler à 50 km/h, ce qui lui permet d’être parfaitement intégré au trafic, là où un cycliste fait un peu tâche — d’où l’importance d’un aménagement séparé lorsque les différences de vitesse sont importantes, pour éviter ce genre de situation.

Évidemment, le fait que ce véhicule soit complètement atypique suscite beaucoup de curiosité. Nombreux sont les conducteurs qui sortent leur portable pour filmer, certains ralentissent au milieu de la file sur les départementales ou sur les routes au bord de la Seine, au point même de se faire klaxonner.

Finalement, on n’a eu qu’un seul moment un peu préoccupant : un conducteur qui regardait son portable en roulant. Mais franchement, que ce soit avec la vélomobile ou un vélo classique, ce genre de comportement reste dangereux.

La différence, c’est que dans la vélomobile, comparé à un cycliste, le pilote bénéficie d’une protection réelle au niveau de la tête et du corps.
Le véhicule est conçu pour disperser les forces en cas de choc frontal et pour supporter un renversement.
Devant la tête, il y a même une longue zone prévue pour absorber les impacts, en espérant ne jamais avoir à l’utiliser.

🛣️ 8. Intégration dans les infrastructures

au final a traverser ses déplacements sur les aménagements cyclables, ce vélomobile ouvre de nouvelles perspectives pour repenser la voirie dédiée aux cycles. Youk  m’a d’ailleurs conseillé de toujours bien vérifier les différents itinéraires avant de se lancer, et de son expérience de cycliste aguerri, il recommande de choisir ses parcours avec attention.

De manière surprenante, même si ce vélo est assez bas, il passe plutôt bien sur les pavés et les sols irréguliers. En revanche, il faut impérativement faire attention aux ralentisseurs : s’ils sont trop hauts, la coque frotte, ce qui peut vite devenir gênant, voire endommager le véhicule.

Piloter ce type de véhicule met aussi en lumière la qualité réelle des aménagements cyclables. Sur notre trajet, nous avons pu constater à quel point une piste trop étroite peut représenter un frein, voire un danger. Par exemple, nous avons vu un cycliste accidenté sur le bas-côté. Sans connaître précisément les circonstances de l’accident, les conditions précaires de circulation ne laissent guère de doute : c’est une situation de qualité inacceptable.

Je vous recommande d’ailleurs de ne jamais rouler sur une zone d’eau stagnante sur le côté, car on ne sait pas ce que cela peut cacher. Il peut très bien y avoir un nid-de-poule dessous, donc, en bref, ne roulez jamais sur de l’eau.

Un autre détail important : des virages trop brusques ou des angles trop étroits rendent également la circulation de ce véhicule très difficile.

Ce constat souligne l’importance de penser les aménagements au-delà du simple vélo traditionnel. Aujourd’hui, la pratique du vélo évolue fortement : vélos plus longs pour transporter des passagers, vélos plus larges avec remorques, et diversification des usages liés à la mobilité douce.

Cette évolution doit se traduire par des infrastructures adaptées, avec des pistes plus larges et des courbes progressives qui permettent à tous les types de vélos et vélomobiles de circuler en sécurité et confortablement. Il est essentiel de ne pas se limiter à des pistes conçues uniquement pour les vélos de loisir, mais de prendre en compte les usages de transport, de passage ou de transport de matériel.

l’accès des aménagement également en évitant d’avoir un poteau en plein milieu 

Pour que la mobilité douce puisse se développer pleinement, les infrastructures doivent donc anticiper ces changements et proposer des aménagements de qualité, robustes et adaptés à cette diversité croissante.

💡 9. Réflexions sur la mobilité

Une question légitime se pose avec le développement de ce type de véhicule :
👉 Faut-il l’autoriser sur les aménagements cyclables ? Faut-il limiter sa vitesse ? Faut-il lui créer une réglementation spécifique ?

À mon sens, le vrai sujet et vous commencez a me connaitre, c’est l’infrastructure.
Aujourd’hui, beaucoup d’aménagements cyclables sont pensés pour le loisir, en ville, sur des trajets courts, sans réel maillage ni logique de réseau. Dès qu’on sort de ce cadre, ces pistes deviennent vite inadaptées à des véhicules plus larges, plus rapides ou plus utilitaires comme les vélomobiles.

Et pourtant, ces engins ont toute leur place dans une mobilité du quotidien — sobre, efficace, et surtout interurbaine. Le vélomobile remplit un vide entre le vélo classique et la voiture. Il permet d’envisager des trajets qu’on n’aurait jamais faits à vélo, tout en évitant les contraintes (et les impacts écologiques) d’une voiture.

Aux Pays-Bas, ils circulent déjà naturellement, tout simplement parce que les aménagements ont été pensés pour cette diversité d’usages : vélos cargos, tricycles, vélomobiles… Ce n’est pas une question de vitesse. C’est une question de vision.

Sa forme particulière — entre le scooter, la voiture et le vélo — soulève en réalité une réflexion bien plus large :
👉 Comment prévoir nos infrastructures à la diversité croissante des mobilités ?
👉 Et surtout comment penser les déplacements à partir des besoins réels des usagers, plutôt qu’à travers des catégories rigides ou des formats hérités du passé ?

Au fond, ce type de véhicule soulève une question fondamentale : pourquoi limiter les véhicules plus lents que la voiture à un simple usage de loisir, alors qu’ils peuvent parfaitement servir de véritables moyens de transport et de logistique au quotidien ?

Et dans un contexte où les moteurs thermiques seront interdits à la vente dès 2035 en Europe, notamment dans les zones rurales et périurbaines, ces véhicules intermédiaires pourraient devenir le chaînon manquant entre les modes actuels. Plus légers, plus sobres, plus abordables aussi.

Ce que je trouve passionnant enfin, c’est le potentiel d’innovation. On voit qu’on est encore sur un modèle artisanal, évolutif, mais qui vient petit à petit combler ce fameux « gap » entre vélo et voiture. Il répond à un besoin croissant de solutions intermédiaires, adaptées, efficaces — et, soyons honnêtes, bien plus sensées que de continuer à tout faire en SUV électrique de 2 tonnes.

💸 10. Coût et accessibilité

Et justement, à propos de ce modèle artisanal et de son coût, si vous vous demandez peut-être son prix en comparaison, il se situe à peu près dans la même gamme de prix qu’une voiture électrique sans permis, bridée à 45 km/h. Et comme c’est un véhicule de niche, avec seulement 250 exemplaires produits, il est disponible aux alentours de 10 100 € sans option, et environ 13 500 € avec toutes les options.

Je trouve ça dingue d’avoir un engin aussi personnalisé, avec autant de pièces en full carbone et une foule de détails ca ce prix la. Ça montre à quel point ce mode de transport a encore une énorme marge de progression. Dès qu’on commencera à le développer sérieusement, à le démocratiser et à industrialiser la production, les coûts pourraient vraiment baisser. Il y a encore beaucoup de potentiel, même si, pour l’instant, ça reste l’affaire de quelques passionnés.

Et puis, comparé à une voiture électrique classique, c’est tellement plus classe de rouler avec !

https://www.velomobileworld.com/product/bulk-mk1

🔧 11. Entretien et réparations

Par contre, le sur-mesure ne concerne que la réalisation de la coque. Pour le reste des pièces, on reste sur du vélo classique, pensé pour simplifier l’entretien.
Ce que vous voyez sur le côté se retire facilement, ce qui permet d’accéder à la chaîne en cas de saut, ou de démonter la roue arrière. Cette dernière est une roue mono-bras, c’est-à-dire qu’elle est tenue uniquement d’un côté, ce qui facilite aussi le changement de pneu et de chambre à air. Les roues avant sont fixées de la même manière.

Youk  m’a également indiqué que l’usure était moins importante sur les plateaux, la chaîne et la cassette, car la chaîne croise moins — tout simplement. Oui, c’est bien une chaîne, qui passe d’ailleurs dans ce petit tube en dessous. À l’avant, il y a aussi cette trappe qui permet d’accéder aux roues avant pour l’entretien.

🎬 Conclusion

Au final, ce qui complique le plus la vie de l’usager, c’est justement le côté unique et atypique de ce mode de déplacement. Il attire forcément les regards, et dans un environnement très urbain — avec des redémarrages fréquents, des contraintes de stationnement et des infrastructures pas toujours adaptées — il se rapproche presque d’une voiture, avec toutes les complexités que ça implique pour l’usage quotidien et le développement à grande échelle.

En revanche, en milieu interurbain ou rural, sur de longues distances, et d’un point a défini a un point b pour un suage quotidien il devient une alternative crédible a la voiture. 

Même s’il reste destiné à un usage de niche, il peut remplacer certains trajets qu’on ferait normalement en véhicule motorisé. Et son vrai plus ? En l’utilisant, on fait du sport, on bouge, on sort de la sédentarité.

Il ouvre aussi une réflexion sur le véhicule de demain : quelque chose de plus spécifique, mieux adapté aux usages, quitte à avoir plusieurs moyens de transport selon les besoins.

J’espère que cette découverte vous a autant plu qu’à moi ! Vous trouverez toutes les infos sur Youk en description. Il a aussi lancé un compte Instagram pour partager ses aventures, alors n’hésitez pas à aller y jeter un œil.

Si vous aimez ce format et que vous voulez me faire découvrir d’autres engins, dites-le-moi en commentaire, et abonnez-vous pour ne rien rater des prochaines vidéos.

Et pour aller plus loin, rendez-vous sur la chaîne secondaire : vous y trouverez l’interview complète et les essais du véhicule sur le circuit de Longchamp.

Merci au relecteur sur Discord et à toutes celles et ceux qui soutiennent Altis Play sur les différentes plateformes.

À très bientôt pour une nouvelle vidéo. Bonne route à tous !

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